Christophe de Callatay

J’ai commencé à peindre très jeune, d’abord à la gouache, imaginant un monde très coloré peuplé de héros et d’oiseaux. A 13 ans, j’ai remporté le premier prix d’un concours national pour jeunes talents organisé par le Musée Royal des Beaux-Arts de Bruxelles, qui m’a permis d’assister aux Jeux Olympiques de Montréal.

Je me suis un temps tourné vers le cinéma, avec quelques films primés, notamment à la télévison belge et au New York Film Festival. J'ai mené une carrière professionnelle très active essentiellement dans les public affairs sur la scène européenne  et ne ne me suis véritablement remis à la peinture qu’à l’amorce de la cinquantaine.

Pourquoi je peins ? Pour enchanter le monde. Pour l’embellir peut-être, à défaut de pouvoir mieux faire pour le rendre meilleur.

J’aimerais m’inscrire dans la lignée de ces grands imagiers primitifs et de ces innombrables artistes anonymes qui ont bâti des temples et honoré des divinités depuis la nuit des temps. Comme ces tout premiers peintres animaliers qui, dans  l'anonymat le plus complet, ont décoré la Grotte de Lascaux avec de véritbles chefs d'oeuvres.